Pour l'équipement audio des nouvelles séries de Mercedes «Classe S», la marque automobile allemande a fait appel à Bose. Une installation haut de gamme a été conçue pour offrir une qualité sonore et un confort d'utilisation irréprochables. Onze hautparleurs sont répartis en sept groupes dans le véhicule (on en trouve même un au niveau du rétroviseur intérieur), ainsi que sept amplis et autant d'equalizers. L'association PhilipsRenault est tout aussi fructueuse : six hautparleurs (dont deux tweeters), la télécommande au volant et de nombreuses fonctions prévues pour éviter les manipulations inutiles.

La minitable lumineuse Viewpet permet de visionner en toute occasion vos diapositives. Equilibrée en lumière, elle confère une parfaite répartition lumineuse et convient donc également aux professionnels. Entièrement autonome, elle fonctionne à piles ou sur un adaptateur 9 volts (en option) et se transporte aisément. L'appareil est disponible chez Lab'distribution (22, boulevard Beaumarchais, 75011 Paris) 'au prix de 1 090 francs et est livré avec une housse de voyage.

Infatigable novateur, Pioneer révolutionne une fois de plus le monde de l'audiovisuel avec sa nouvelle création, le CLD '2600. Beau, performant, simple d'emploi, ce laserdisc universel a surtout deux particularités frappantes : la première, c'est la lecture enchaînée de deux faces : fini les allées et venues horripilantes pour retourner le disc! La seconde, son prix : ce remarquable appareil est disponible pour la somme de 5 990 francs. Un investissement tout à fait honnête si l'on considère ses performances. Insatiable, le CLD 2600 lit indifféremment, les compact discs audio, les CDV ou encore les laserdiscs vidéo 20 et 30 cm. Doté des nouveaux circuits Pioneer, son convertisseur assure une qualité musicale exceptionnelle. L'image (d'une définition horizontale de 440 lignes) est d'une netteté irréprochable. Les fonctions sont régies par une télécommande intégrale, munie du fameux bouton Shuttle, pour des effets de recherche parfaitement maîtrisés (ralentis, arrêts, visualisations à vitesses multiples...). Outre les fonctions communes aux lecteurs CD.

«Un dîner sportif autour du ring». Le rendez vous avait été pris pour le mardi 10 septembre. 20 heures 30, L'Elysée Montmartre accueille les invités de la société Delta. Michel et Mireille Poirier, qui dirigent les activités du plus gros éditeur vidéo indépendant en France, avaient convié amis, journalistes et clients à un repas célébrant la sortie, à la vente, de « Full contact» et la sortie prochaine, à la location, de «Coups pour coups». JeanClaude Van Damme, la «mascotte» Delta et le héros des deux films suscités, avait fait parvenir un mot d'excuse : «Absence pour cause de tournage au Mexique». Après une première prise de contact autour du bar et de quelques verres, la foule devait s'orienter dans la salle et prendre place autour des tables disposées près d'un ring qui n'allait pas tarder à donner à ce dîner sa connotation «sportive». Pascal et Virginie Ducros, respectivement champion du monde professionnel et championne d'Europe de kickboxing, entrèrent alors en scène pour donner au public une brillante démonstration de ce sport prisé par les cinéphiles d'une part (n'estce pas Van Damme qui a permis à cette discipline d'être connue de tous?) et, de l'autre, par des amateurs, chaque jour plus nombreux, d'arts martiaux. Impressionnant! Deux combat tantes particulièrement eformes (chacune luttar  dans la catégorie poid lourds) les remplacèrer  bientôt pour un spectaci haut en couleur. Enfin c..E fut au tour d'un couple dE sexylutteuses de monte sur le ring. A ce momer: précis, les maris préserrs dans la 'salle oublièrent rapidement la présence leurs côtés de leurs épouses... Face au public, deL, superbes catcheuses a  laient devoir se livrer corrbat et tenter de se déshabiller mutuellement pouêtre déclarées vainqueu Chacune s'est vu attribueun manager (pris au hasard dans la salle) ayant noble tâche d'enduire corps de sa «pouliche d'huile (!) et de rencour,,. ger durant son combat. L. arbitre, également choir dans le public (ici, Antoine Campion, le PDG de Fuji France qui officia). départagea les candidates_ Le spectacle fut total et des plus prisés par leç spectateurs. JeanPierrSpeidel, maître d'ceuvre ce show chaud, donna mot de la fin de cette Se41 rée très apprédiée en rei merciant ses organisateurs. Delta, en rendehommage à JeanClauciVan Damme, a prouvé à façon que le sport dom aussi engendrer le rireautre éditeur se lancera: dans une soiréespeC,E:  similaire pour, par pie. la sortie de «Mass  à la tronçonneuse»? L avis aux amateurs...

De James Cameron, avec Arnold Schwarzenegger, Linda Hamilton et Edward Furlong.
Sortie : 16 octobre.
Nous vous l'annoncions dans notre précédent numéro, cette fois, le voilà ! Le voilà le film le plus cher de l'histoire du cinéma (100 millions de dollars I), le voilà « le» Cameron dont tout le monde parle avec moult superlatifs et revoilà Terminator Deux exemplaires de ce robot hyper perfectionné remontent le temps. Le premier est en voyé pour éliminer le chef de la résistance humaine, le second pour le sauver et éviter une catastrophe nucléaire prévue pour le 29 août 1997. Une lutte infatigable commence alors entre les deux mach' nes, bientôt suivie par une course contre la technologie et un savant en passe d'inventer un microprocesseur permettant la destruction de la planète. Compliqué, ditesvous? Dans le fond, certainement. Au niveau de la forme, Cameron est quasi irréprochable. Des effets spéciaux hallucinants émaillent le film de bout en bout. On ne peut que rester ébahi face au robot en métal liquide qui se reconstitue alors qu'il vient d'être détruit On ne peut que s'incliner face aux véritables performances cinématographiques ici déployées. Schwarzy apparaît tel qu'on l'aime et apporte à son personnage une poire d'humour.